Pour tout comprendre
La kinésiologie trouve ses racines dans les années 1960 aux États-Unis, où elle a été fondée par le chiropracteur américain Dr. George Goodheart. C’est lors de ses pratiques qu’il a découvert que la force musculaire pouvait révéler des déséquilibres énergétiques dans le corps. Il a alors développé une méthode appelée « Kinésiologie appliquée », basée sur l’utilisation de tests musculaires pour évaluer la santé physique et énergétique des patients.
Dans les années 1970, John Thie, un élève de Goodheart, a simplifié les principes de la Kinésiologie appliquée pour les rendre accessibles au grand public. Il a créé le système « Touch for Health » (La Santé par le Toucher), qui est rapidement devenu populaire dans de nombreux pays. Ce système permet aux non-professionnels de tester les muscles et de rétablir l’équilibre énergétique grâce à des techniques simples.
Dans les années 1980, Paul Dennison, un éducateur spécialisé, a développé la « Kinésiologie éducative ». Cette approche utilise des mouvements spécifiques pour améliorer l’apprentissage et les capacités cognitives, en particulier chez les enfants. Elle repose sur l’idée que les mouvements corporels peuvent influencer directement les performances mentales.
Une discipline en évolution
Depuis ses débuts, la kinésiologie a évolué pour intégrer des éléments de médecine chinoise, de psychologie, de neurologie et d’autres disciplines énergétiques. De nouvelles branches ont émergé, comme la kinésiologie holistique et la kinésiologie émotionnelle, chacune offrant une approche unique pour équilibrer le corps et l’esprit.
Aujourd’hui, la kinésiologie est pratiquée dans de nombreux pays comme une méthode complémentaire de bien-être. Elle est utilisée pour aider à gérer le stress, améliorer les performances physiques et mentales, et favoriser un équilibre global entre le corps et l’esprit.
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